Sur le long terme, la robustesse du groupement concepteur-constructeur COSEA, dans lequel le groupe -VINCI a un rôle-clé, s’appuie elle aussi sur une culture d’entreprise qui donne la première place aux hommes et aux femmes, et donc minimise le recours aux contrats précaires. Le groupe s’inscrit dans une politique de développement durable dans laquelle le CDI tient toute sa place.

Le respect, la confiance, la fidélité, la bienveillance vis-à-vis des collaborateurs sont en effet des atouts très compétitifs : ils permettent de bénéficier d’équipes soudées, formées de salariés compétents et attachés à la réussite de l’entreprise. C’est notamment sur les qualités de ses équipes que repose la réputation de COSEA. Avec elles, il est possible de tenir les objectifs de délai et de qualité d’exécution, de satisfaire et de fidéliser les clients, de remporter des marchés.
Le philosophe André Compte-Sponville a écrit dans son livre Le capitalisme est-il moral ? qu’il ne fallait pas attendre d’une entreprise qu’elle soit morale. Sa mission ne serait pas dans ce registre. L’entreprise serait-elle amorale ?... Et pourtant COSEA a des valeurs.

« En traitant bien les gens, j’ai le sentiment de faire bien mon travail. Quand les gens sont heureux, c’est là qu’ils travaillent le mieux… Ces choix sont raisonnés, mais ils reposent sur une forte vocation humaniste. » Xavier Neuschwander.