Dans une opération en participation, les entreprises partenaires se portent bien, si le projet se porte bien. Elles doivent donc être au service de celui-ci et non l’inverse. Cela ne dépend pas de la taille du projet, mais uniquement de la volonté des dirigeants de chacune des entreprises. Ils sont, bien sûr, tenus informés, mais sans qu’ils puissent s’ingérer dans le fonction- nement du projet dont l’autonomie doit être maximale. Quant aux cadres du projet, il leur faut « oublier » leur appartenance à l’une ou l’autre entreprise partenaire et lutter contre toute attitude contraire à une vision commune : leurs comportements seront observés et copiés par leurs équipes. Là encore, c’est uniquement une question de volonté.